Chrystal Destiny Brennan« Il y aura toujours quelque chose pour détruire nos vies. La seule question est qu'est-ce qui va nous tomber dessus un premier. On est toujours au bord du gouffre. »

as Bridget Regan
Mach'




YOUR CHARACTER

scénario inventé

YOU BEHIND THE SCREEN
Je m'appelle Perrine, connu sur la toile sous le nom de Hapiness-Coffee, j'ai 17 printemps. J'ai choisi Bridget Regan parce que Elle est belle, talentueuse, même si je ne l'ai vue que dans Legend Of The Seeker, jusqu'à présent ^^. Sinon j'ai connu le forum You are in my heart grâce à Prue, la petite sorcière ! :p. Je serais présent Un peu tout les jours, sauf en cas d'abscence, bien sur par semaine parce que bon le forum rawks. Je suis tellement mignon que j'ai lu le code du règlement Ok by Cassyopée . Avant de continuer ma présentation j'ai encore quelque chose à vous dire : Très joli forum, j'espère que du people viendra ! =).

Dans ce monde vous allez devoir vous y faire, on est tous très con lorsqu'on est très jeune. On se pense supérieur, on pense dominer la vie. On se rit de tout, le futur, notre avenir, rien n'a d'emprise. On veut jouer les grands fous, on veut s'amuser à froler la mort. On joue avec le feu, on s'enlace sans être amoureux. Fidèle jeunesse, où sont passées les promesses. Il n'y a rien de plus jouissif, que de se prouver que l'on a tort, pour ensuite montrer qu'on a raison. On veut tous contrôler, on se pense fort, on se pense drôle, on se pense invincible. Avec cela, rajouter pour certain la richesse et cela devient rapidement insupportable. voir intolérable... Nous, on est la jeunesse, on y peut rien, vous non plus d'abord. Vous pensez que ça va passer, vaudrait mieux pour vous, mais honnêtement on ne peut rien promettre...




CHAPTER I ♣ I WAS BORN THIS WAY, WISHED IT OR NOT ?


« Vous pensez connaitre l'histoire, mais vous n'en savez que la fin. Pour en atteindre le coeur, il faut la reprendre au début. »


Je voulais croire en tout et surtout, en moi-même. Les autres ne faisaient partis que d’un ensemble avec plus ou moins leur importance. Moi, je me voulais exceptionnelle, unique aux yeux de ceux-ci. J’ai pourtant rapidement réalisé que personne ne peut se démontrer parfait, encore moins lorsqu’on le désire pour sa propre fierté, pour être heureux semble-t-il. Vous a-t-on déjà dit qu’il n’y avait que les riches pour se rendre comptent que l’argent ne fait en aucun cas le bonheur ? Croyez-moi ou non, mais cette petite anecdote est véridique. Née à Los-Angeles, je n’ai jamais eu à me plaindre en apparence. En effet, mes parents ont toujours été présents. Très jeune, je prenais déjà des cours de danse, de piano aussi et je faisais partie des meilleures écoles de la ville. Ne trouvant pas ma voie, ils l’ont trouvée à ma place et décidèrent que plus tard, je serais une bien grande avocate, que je serais un individu important dans une société corrompue. Tout au fond de moi, cependant, je savais que je ne pourrais jamais faire ce à quoi ils me destinés. Apprendre des dossiers par cœur, très peu pour moi. Défendre les autres alors que j’ai toujours eu du mal à m’affirmer, c’est encore pire. Je me suis tûe souvent. Je n’ai rien dit jusqu’à ce que j’obtienne mon diplôme, que mes parents se séparent et que mon père, trouve une nouvelle petite amie qui a pratiquement mon âge. Vous savez, dans des circonstances pareilles, on se pose de nombreuses questions, et si… Et si nous prenions en main notre propre vie sans se soucier réellement de ce que penseraient nos parents, de notre famille qui appartient à la haute bourgeoisie ? J’ai toujours adoré les soirées mondaines, car elles me permettaient de porter des robes tout à fait sublimes. Mais il y a aussi des inconvénients à faire partie de ce monde. On ne peut pas faire tout ce que l’on veut, on ne peut être avec qui l’ont veut et ça, franchement, j’ai toujours détesté.

Je n’ai jamais rien fait de spécial dans ma vie. Enfin, rien de bien exceptionnel qui ferait en sorte qu’on connaisse mon nom. J’ai toujours adoré qu’on prenne soin de moi, mais j’ai aimé encore plus lorsque j’ai pris mon indépendance. Trop tôt, trop tard, je ne sais pas tellement. Dans tous les cas, je ne suis plus cette petite fille gentille, et chaque jour qui passent me détruise encore un peu plus...




CHAPTER II ♣ SPENDING EVERYDAY IN THE POURIN' RAIN.


« Principe de base : Peu importe quand, peu importe qui, peu importe où, n'importe quel homme peut envoûter n'importe quelle femme. »


« Mademoiselle accepterait-elle de danser avec moi ? » J’étais venue sans cavalier au bal du lycée. Je regretterais d’être venue, et non pas de n’en avoir pas trouvé bien avant, de trouver le courage de parler avec un garçon de mon lycée. J’étais plus ou moins timide et tout ce qui se rapprochait de près ou de loin à la gente masculine me foutait une trouille pas possible. Incapable de contrôler mes jambes tremblantes, les mains moites ou alors que mes joues s’empourprent quand j’avais la mauvaise idée de croiser le regard de l’un d’entre eux. C’était terrible dans le fond parce que d’après ce que j’avais entendu, je plaisais à quelques uns. J’avais peur. J’ai toujours eu peur. « Je ne peux pas. » J’avais déjà cette boule au ventre, un mal atroce venant me frapper dans l’estomac. Tout le monde connaissait Gabriel, il était le garçon le plus connu au lycée. Hey oui, encore et toujours ces questions de popularité, mais malheureusement, on ne peut pas changer le monde, quand bien même on le désirerait plus que tout.
« Tu vois que tu peux. » Il avait pris ma main comme s’il ne me laissait pas le choix. J’avais joins mes mouvements aux siens pour une danse lascive, et pour la première fois depuis longtemps, je me sentais bien. Moi-même. Ce sentiment est tellement rare chez moi que je me demandais encore si je ne rêvais pas, si je n’étais pas entrain de fantasmer sur une personne qui m’était complètement indifférente dès le début. En effet, je n’ai jamais été le genre de fille à vouloir sortir avec les types jouant au football américain ou bien au basket ou tout autre sport dans le même genre. Eux, ils se fichent pas mal des filles. Tout ce qu’ils désirent c’est passé un peu de bon temps avec elles et rien de plus. Moi, je voulais autre chose, je voulais des sentiments et pas qu’on me brise le cœur dès le moment venu. Je relevais alors doucement la tête, un sourire sur les lèvres et nous avons continué à danser une bonne partie de la soirée. Il ne m’a jamais quitté, même quand je lui ai dit que j’avais dépassé l’horaire auquel je devais rentrer. J’ai insisté, il a abdiqué. Gabriel a fini par me raccompagner chez moi, et au moment même où nous allions nous embrasser, ma mère a ouvert la porte. Je l’ai revu, oui. Beaucoup plus tard...




CHAPTER III ♣ I WAS ON THE TOP THEN YOU LET ME FALL.


« Il y a un adage qui dit que l'on fait du mal à ceux qu'on aime; mais il oublit de dire qu'on aime ceux qui nous font du mal. »


Cela faisait quatre et longues belles années que j'avais était mariée à Gabriel. Depuis ce fameux soir, où l'on avait était au bal ensemble. Où on avait danser jusqu'à pas d'heure, où il m'avait raccompagner chez moi... Nous nous étions jamais séparés depuis. Nous avions fait notre vie, formant un joli petit couple. On s'aimaient... Cela était beau, parfait... Donc trop louche pour être plus vrai que nature... Quand nous avons emmenager à Carmel, j'ai rencontrer un jeune homme du nom de Derek. Un autre sur lequel j'avais craquer, sur lequel j'avais faillit avoir une aventure, mais devant le fait accomplis, je n'ai pas pu tromper mon mari. Bien entendu, cela n'a pas plus, ni à Derek, qui m'aimait depuis le premier jour où il m'a vu, ni à l'amour de ma vie. Et alors que je devais partir en vacances, soit disant avec mon bien aimé, je me suis retrouver avec des papiers de divorce sur le dos. Charmant, non ? Et tout ça pour quoi ? Parce que ce dernier s'est rendu compte que je passais trop de temps en compagnie de mon voisin. Pensant sans nul doute que j'étais devenue la maîtresse en titre, cela l'a mis dans une colère noire, et moi... Je me suis retrouver dans de beaux draps. Au final, me voilà de nouveau à Carmel, toute seule dans mon appartement, bientôt divorcé, à éviter celui qui m'attirait... Voir, envers qui je ressentais peut-être de l'amour, également... Seulement, je lui en veut. Pas seulement à cause de mon histoire, mais aussi à cause de sa soit disant colocataire. Je suis ûre qu'au fond il y a quelque chose entre eux, et ça me brise le coeur...