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 enora ► j'peux pas, j'ai hand.

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AuteurMessage



Enora B. Williams
Enora B. Williams

WILLIAMS ▬ she's got to love nobody


♡ Messages : 163
♡ Humeur : pretty good, thnx.
♡ Your face : enora ► j'peux pas, j'ai hand. 110805113218137892
♡ Crédits : © bazzart ♥


who are you ?
❥ groupe : « Love the way you lie »
❥ un rp : oui
❥ vos relations:

enora ► j'peux pas, j'ai hand. Empty
MessageSujet: enora ► j'peux pas, j'ai hand.   enora ► j'peux pas, j'ai hand. Icon_minitimeVen 16 Sep - 14:42


STATUT DE TA FICHE


en cours finie



ENORA BELLINA WILLIAMS
« On m'a toujours dit de viser la Lune, pour atterrir dans les étoiles en cas d'échec. La seule chose que je peux dire, c'est que même les étoiles n'ont pas voulu de moi. »


as nom e. watson
©️ tumblr




YOUR CHARACTER


scénario inventé


    YOU BEHIND THE SCREEN
    Je m'appelle Enora wesh !, connu sur la toile sous le nom de rien.. A vous de voir comment vous allez m'appeler, j'ai dix-neuf printemps. J'ai choisi Emma Watson parce que elle roxe, que je l'aime et je ne peux pas vraiment l'expliquer. Sinon j'ai connu le forum You are in my heart grâce à dieu, il m'a parlé cette nuit. Je serais présente sept petits jours par semaine parce que bon le forum rawks. Je suis tellement mignon que j'ai lu le code du règlement enoralidé enora ► j'peux pas, j'ai hand. 2474380249 . Avant de continuer ma présentation j'ai encore quelque chose à vous dire : j'peux pas j'ai hand dans dix minutes enora ► j'peux pas, j'ai hand. 1001256540 .







TELL ME YOUR STORY BABE




    New York ; État-Unis
    vingt-cinq juillet mille neuf cent quatre vingt dix.


    Je suis née dans la Grosse Pomme comme on aime l’appeler, à New York. C’était une belle journée ensoleillée, il y avait un temps magnifique, la température avoisinait les quarante degrés ce qui n’était pas vraiment anormal pour un mois de juillet. Cependant, je n’allais pas être la seule à venir faire le bonheur de mes parents, en effets nous étions deux, des jumeaux. Inutile de vous dire le choc que cela a pus faire à mes parents lorsqu’ils l’ont appris au bout du cinquième mois, lors des premières écographies le docteur avait pourtant assuré qu’ils auraient une petite filles et pourtant, surprise. Ils avaient entrepris de faire une chambre toute en rose, des coussins rose, le berceau rose, des ours rose, les murs rose, en bref c’était panique à bord. Leur petit garçon allait sans doute être traumatisé à la vue de toute cette énergie girl power. Aussi leur médecin les avait prévenus, ils allaient avoir des prématurés, c’était quelque chose de presque normal lorsqu’on allait mettre au monde des jumeaux mais ça leur avait mis une sorte de pression plutôt étrange. Des remises en questions quand a leur avenir, le travail de chacun, la maison, tout allait trop vite et ils étaient incapables de ne pas se poser trop de questions. Surtout après avoir appris que leurs enfants resteraient probablement plus de trois semaines à l’hôpital ils ne savaient plus ou ils en étaient. Toujours est-il qu’en cette fin d’après midi lorsque la main de ma mère se crispa sur la cuisse de son mari, il ne lui fallut pas plus d’une demi seconde pour comprendre que le travail venait de commencer, c’était trop tôt ils le savaient pertinemment. Le break sorti du garage sur les chapeaux de roue, ma mère à l’arrière suppliant son mari de se dépêcher sinon elle allait probablement le tuer et celui-ci qui faisait en sorte de ne pas se faire arrêter par la police ni de renverser quelqu’un au passage. Ils mirent une bonne demi heure avant d’arriver à l’hôpital, temps record étant donné le flux dense de circulation qui caractérise la ville. Bref il fallu près de cinq heures au personnel hospitalier et bien entendu à ma mère, avant que mon frère daigne pointer le bout de son nez, je le suivis deux minutes après. Nous étions nés sur la fin du septième mois et mes parents n’avaient pas finis de s’inquiéter pour nous.

    Mes parents s’étaient rencontrés durant le lycée, ils étaient sortis ensemble durant leur dernière année mais avaient finalement suivis des chemin différents. Lui, Ray Curtis, rejoignait à l’université de New York tandis qu’elle, Victoria Williams, rejoignait sa mère en Angleterre. Ils avaient rompus d’un commun accord. Durant la première année les lettres pleuvaient mais la distance, le décalage horaire avait pris le pas sur leur relation et au final ils avaient perdu contact. Et ce fut cinq ans plus tard qu’ils s’étaient retrouvés par hasard dans un café de New York, c’était comme si rien n’avait changé. Ray n'avais pas eu besoin de réfléchir lorsqu'il l’avait vu, un regard, un sourire avaient suffit. C'était la femme de sa vie. Celle qu’il aurait voulus garder auprès de lui chaque secondes de son existence. Elle lui faisait perdre la tête, il la rendait plus folle de lui jour après jour. La flamme qui c’était allumé durant le lycée ne c’était jamais éteint. Il faisait tout pour la rendre heureuse, prêt à n’importe quoi, quitte à lui décrocher la lune s’il le fallait. Émerveillés l’un par l’autre ils n’avait d’yeux que pour leur amour, leur petite vie tranquille. Ils vivaient dans leur monde, plus personne n'était assez intéressant à part eux même, plus rien ne comptait à part leur bonheur qu’ils jugeaient parfait. Agés tout les deux de vingt trois ans ils ne voulaient plus rien perdre de leurs histoire, ils étaient jeunes mais ils savaient parfaitement ce qu’ils voulaient et cela ne semblait pas très compliqué. Ils avaient décidé d’emménager ensemble, de partir tout les deux et avaient opté pour un appartement sur la cinquième avenue. Un an plus tard Ray avait demandé la main de Victoria qui avait bien entendu dit oui, plus heureuse que jamais à l’idée d’épouser cet homme qu’elle aimait plus que tout au monde. Leur mariage avait été célébré dans la foulée et quelques mois plus tard ma mère lui annonçait qu’elle était enceinte. La boucle était bouclée en quelque sorte, un couple stable, un travail, un mariage et un bébé. Que demander de plus.


    Los Angeles ; État-Unis
    vingt janvier deux mille trois.


    ▬ « Enora ! Tu comptes venir nous rejoindre ou il te faut une invitation spéciale ? » La voix suave de ma mère retentissait dans la maison depuis une bonne vingtaines de minute. J’étais allongée sur mon lit en regardant mon frère comme si il allait mourir dans la minute. Vance posa son regard sur moi avant d’éclater de rire. « Arrête tu me fais flipper, je ne vais pas être méchant, je vais simplement lui demander gentiment de ne pas trop t’approcher. » Fit-il fièrement en bombant le torse. Me relevant en me soutenant sur mon coude je ne savais pas si je devais mourir de rire ou le claquer. « Tu es sérieux ? » Dis-je en pouffant. « C’est une gentil garçon je t’interdis de l’approcher ou d’être méchant. Laisse le tranquille. » Finis-je en me levant de mon lit avant de quitter la pièce. Si déjà à treize ans il était comme ça je ne donnais pas cher de ma peau dans deux ou trois ans. J’allais sans doute finir séquestrée dans la salle de bains si ça continuait.

    Descendant les escaliers j’entendais mes parents se hurler dessus, une fois de plus. Restant assise sur les escaliers je jouais machinalement avec la laine qui recouvrait le bois. Une nouvelle prise de tête, cela faisait un mois qu’ils ne cessaient pas, jamais. Cela me rendait dingue, Vance devenait de plus en plus agressif au fil des jours et ils ne s’en rendaient même pas compte. Je sentis la moquette se plisser sous les pas de mon frère qui venait de s’asseoir derrière moi et de m’enlacer sans un mot. Cela devenait de plus en plus dur, nos parents se déchiraient littéralement et ils ne faisaient plus attention à nous, ils ne se rendaient pas compte que ça nous faisait souffrir. Plus nos parents hurlaient, plus Vance me serrait contre lui, je l’entendais murmurer quelque chose mais je n’arrivais pas à l’écouter, je ne pouvais pas détacher mon attention de mes parents. Notre mère apparue sur le seuil des escaliers les yeux rougis par les larmes, se mordant la lèvre elle tenta une approche vers nous mais mon frère me tira vers lui et m’entraîna dans sa chambre. Fermant la porte à clef il s’y adossa en me regardant les yeux brouillés, sa respiration se faisait de plus en plus saccadée et il se mit à sangloter. C’était la première fois que je le voyais comme ça, lui d’habitude si fort, le genre de garçon qui à onze ans déjà prenait tout sur lui, se comportait en petit homme. M’approchant doucement de lui je m’accroupis en caressant son visage du bout des doigts, ses sanglots reprirent de plus belle et il se jeta dans mes bras. Je l’entendais pleurer et je ne savais pas quoi faire à part le serrer contre moi comme si c’était la dernière fois. Relevant son visage je lui déposais un baiser sur le front en relevant ses cheveux, mes larmes ne tardèrent pas à se mêler aux siennes.

    Ce soir-là, mon père vidait la maison de ses affaires, s’engouffrait dans le break sans même nous dire au revoir et disparaissait au coin de la cinquième avenue. Notre mère fut inconsolable durant de longues semaines, elle ne sortait plus de sa chambre et ce fut Vance qui prit les commandes au sein de la maison, c’était lui qui me motivais, qui me faisait sortir et qui me faisait penser à autre chose. Mais ce fut de courte durée, six mois plus tard je rencontrais celui qui allait faire basculer ma vie à tout jamais, celui qui allait me traîner lentement mais sûrement dans sa descente aux enfer. Mais celui que j’allais aimer plus que ma propre vie.


    Santa Monica ; État-Unis
    deux aout deux mille neuf.

    Le réveil était dur, très très dur. J’entendais les vagues s’écraser doucement sur le rivage et cela me plaisait énormément. Sortant du lit en mettant le draps autour de ma taille je cherchait la première chose à me mettre sur le dos, la vue de mon bras me dégoûtais jour après jour, les traces de piqûre laissait la place à des hématomes énorme. Il fallait vraiment que j’arrête toute cette merde, ce n’était plus possible de vivre dépendante à point là. Décrocher de l’héroïne ? Je savais que j’en étais capable, parce que je la remplaçais avec la coke et que cela me réconfortait dans l’idée que je m’arrêtais à mon rythme. Je me faisais tout bonnement pitié. Passant un énorme pull de l’UCLA je sortis sur la terrasse où je trouvais mon chéri qui observait les premier skateurs du voisinage qui sortait de chez eux, ils étaient bien matinaux pour un dimanche eux. Josh m’attira sur lui en m’embrassant doucement dans le cou. « Ca va mieux ma belle ? » me demanda-t-il d’un air inquiet, pour tout dire je ne me souvenais pas d’hier, après les shoot d’héro je ne me souvenais jamais de rien. Le jeune homme avait réussis à décrocher quelques mois auparavant mais pas de la coke, il s’en voulait énormément de m’avoir entraînée dans toute cette merde et il était prêt à tout arrêter pour que nous soyons un couple sain. Il m’avait promis, il s’était promis. Mais je devais donner du mien et même si notre consommation avait énormément diminuée nous étions toujours dedans. Je hochais la tête en collant mon front contre le sien. « Ca va… J’ai un peu mal à la tête, mais ça va… » Murmurais-je avant de tirer sur sa cigarette. Il souleva doucement la manche de mon pull, je voyais bien que ça le dégoûtait aussi mais il se contenta d’embrasser doucement le creux de mon coude en me regardant tendrement. « On s’en sortira mon ange, je te promet qu’on s’en sortira. » Avec Josh, nous avions passé des périodes affreuses, on se tapait dessus, il couchait à droite et à gauche, je me shootais tous les jours. C’était devenue une relation destructrice pour l’un comme pour l’autre, nous nous étions traînés mutuellement vers le bas. Cela ne faisait qu’un an que nous étions à peu près normaux, qu’il y avait plus de confiance et de respect. Mais je n’arrivais pas à oublier tout ce qu’il avait pu me faire. Je me souviendrais toujours de cette nuit de torture qu’il m’avait fait passer parce qu’il était bien trop défoncé pour savoir ce qu’il faisait et surtout, je me souviendrais toujours que c’était à cause de lui que mon jumeau refusait de me voir, de me parler, qu’il m’avait reniée. Cependant, je voulais laisser à Josh une nouvelle chance parce que je l’aimais plus que ma propre vie.

    Ce soir-là il m’avait invitée au restaurant, une grande nouvelle m’avait-il annoncé. Je ne savais pas vraiment à quoi m’attendre parce que Josh et les grandes nouvelles cela faisait réellement deux. Je voulais simplement lui faire plaisir même si je n’avais aucune envie de passer ma soirée dans un restaurant guindé, je n’aimais pas ça je me sentais toujours bien trop observée. Toujours est-il qu’à huit heures tapante j’attendais mon homme qui se préparait dans la salle de bain. Une heure plus tard nous étions dans un restaurant huppé de Santa Monica, Josh avait l’air étrange, il me rendait presque nerveuse. Saisissant ma main il me regardait avec un sourire béat. « Enora… Je sais que tu n’aimes pas vraiment parler d’union, je sais que j’ai été affreux avec toi et j’espère de tout cœur que tu me pardonneras un jour… Mais il y a quelque chose que je ne peux pas nier, qui fait partie de moi, c’est que je t’aime. Je t’aime tellement que parfois ça me fait peur, parce que j’ai l’impression que tout m’échappe. Mais je veux faire ma vie avec toi, je veux que l’on s’en sorte tout les deux… Pardonne moi pour tout mon amour, je t’ai promis de faire des efforts et j’en fais, même si parfois je suis complètement con, mais est-ce que… Est-ce que tu veux m’épouser ? » Je restais muette, il ne m’avait sorti de pareilles tirade et encore moins pour admettre que parfois c’était un gros con. Il serrait un peu plus ma main dans la sienne appréhendant sans doute la réponse que j’allais lui donner. Me levant doucement je secouais frénétiquement la tête en l’embrassant amoureusement, je n’en avais rien à faire des gens outré autour de nous. Il sortis une bague de sa poche et me la mis au doigt avant de m’embrasser une nouvelle fois.


    New York ; État-Unis
    cinq janvier deux mille onze.


    Central Park, la neige, New York un véritable rêve. Josh et moi étions toujours fiancés et n’avions pas encore prévus la date du mariage, on voulait prendre notre temps pour que tout soit bien et que nous soyons mieux posé. On avait surtout besoin de changer d’air et nous avions opté pour la Grosse Pomme, le nouvel an avait été paradisiaque, tout simplement extraordinaire. Pourtant il y avait quelque chose qui ne collait pas, Josh était étrange depuis la soirée du nouvel an, il n’étais plus le même, il me semblait distant. Je ne comprenais pas vraiment pourquoi mais comme je n’étais pas plus collante que ça je ne me posais pas de question. Le soir même il ne voulus pas sortir, l’hôtel semblait être le meilleur endroit, il fallais que l’on discute. Je ne la sentais cette discussion, il me paraissait de plus en plus bizarre et cela me faisait un peu peur. J’avais raison d’avoir des doutes sur ce qu’il avait à m’annoncer. Il était assis sur le lit, jouant machinalement avec son téléphone portable, lorsque je sortis de la salle de bains il ne me regarda même pas. « Faut qu’on parle Enora. » me dit-il platement. M’asseyant à ses côtés je pris sa main dans la main mais il se leva aussitôt. « Quelque chose ne va pas… ? » Murmurais-je en le suivant du regard. « Josh… Tu es bizarre depuis quelques jours, qu’est ce qu’il y a ? » Continuais-je en attendant une réponse de sa part. Il se planta devant moi avec un regard qu’il n’avait pas eu depuis des années, d’accord là, j’étais angoissée. « J’en ai marre. » Je levais les yeux en haussant un sourcil. « Marre ? Marre de quoi ? » Il tapa doucement dans ses mains, il m’avait l’air encore plus perplexe et perdu que moi. Il fit les cent pas dans la chambre avant de poser son coude contre la fenêtre. Son silence me pesait, c’était vraiment quelque chose que je détestais, lorsqu’il ne disait rien. « De tout Enora. J’en ai marre de tout. J’étouffe tu comprends. J’ai besoin d’être seul, j’en ai assez d’être collé à toi toute la journée, ce voyage ici à été une erreur, j’en ai assez de faire semblant. Cette demande en mariage stupide a été une erreur. » Je lâchais la serviette que j’utilisais pour me sécher les cheveux. Une erreur ? C’était lui qui avait eu cette idée, c’était lui qui m’avait promis la lune, je ne lui avais jamais rien demandé. « Tu te fous de moi ? C’est toi qui as voulus tout ça. Je ne t’ai jamais demandé de m’épouser, je ne t’ai rien demandé. » Lâchais-je en me levant à mon tour. « T’en as marre de faire semblant ? Ben dégage alors, rien ne te retiens. » Josh se retourna en me regardant droit dans les yeux, il serrait ses poings si fort que ses jointures devenaient blanches pâles. Je sentais arriver le coup de poing en pleine figure. « Venant de la part d’une droguée, ça ne me fais rien. Tu n’auras pas de disputes, ce que tu dis n’à plus aucune importance pour moi. Plus aucune. » J’hésitais entre fondre en larmes ou lui coller ma main dans la figure. « Toi et moi c’est finis. Je ne veux plus de tout ça. Je m’en fous de tout ça, je veux être seul. » La colère l’emporta sur la tristesse et ce fut ma main qui atterrit sur sa joue. « T’es vraiment un gros con. Tu croyais quoi ? Tu t’attendais à quoi ? J’en ai rien a foutre moi que tu te sente étouffer. C’est toi qui m’as entraînée dans toute cette merde. C’est toi qui ma donné mon premier rail de coke, et c’est moi la droguée ? Nan mais tu te fous de ma gueule Josh ? » Je tremblais de tout mes membres, la serviette autour de mon buste venait de tomber au sol et je n’en avais rien à faire. Je n’avais qu’une seule envie, que pour une fois il est les couilles de me dire ce qu’il pensait réellement. La seule chose qu’il trouva à faire ce fut de ramasser la serviette et me la balancer au visage. « Rhabille toi. On dirait une pute. Tu me fais honte Enora. Tout Los Angeles sait que tu te shoote, tout le monde croit que tu suce pour une dose d’héro, tu crois que c’est facile pour moi ? » Là, il allait vraiment loin. Ramassant le gilet sur le lit je l’enfilais en une seconde. « Tout LA sait que tu baise pour un rail. Et ça c’est pas des conneries je me trompe ? Dégage, je ne veux plus te voir, c’est moi qui paye cet hôtel alors tu sors d’ici, tu dégage de ma vie, demain je rentre à la maison, je vire tes affaires si tu veux les récupérer t’iras à la décharge. » Dis-je en ouvrant la porte de la chambre, il prit sa veste et s’arrêta devant moi avec un regard de dégoût. Je savais que je venais d’en dire trop. Je ne vis même pas arriver sa main, il me gifla si fort que ma tête heurta le coin de la porte. « Tu es morte pour moi. Ca ne te rappelle rien ? C’est Vance qui t’avais dit ça n’est-ce pas ? Tu es la plus grosse erreur de ma vie Enora, je fais bien de me casser aujourd’hui je veux pas finir camée comme toi. » Dit-il d’une voix calme et posée. Je sentais que quelque chose coulait le long de ma tempe mais je me refusais de fondre en larme tant qu’il était encore là. « Tu es un enculé. Dégage d’ici. Va crever dans ton trou à rat. »

    C’est ce que Josh fit. Je ne l’avais plus jamais revu mais il m’avait arraché quelque chose, j’avais été blessée et je n’allais pas m’en remettre de sitôt. J’avais vent de ses conneries de temps en temps mais je ne voulais plus à voir à faire avec lui. Pour ce faire j’avais décidé de partir de Los Angeles, de toute cette agitation que je ne supportais plus. J’étais plongée dans la drogue jusqu’au coup mais je me réconfortait en me disant que l’héro c’était finis pour moi. Je partie donc pour Carmel une petite ville à des kilomètres de LA, là ou il ne me retrouverais jamais. Là ou je pouvais me reconstruire.






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