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 ENORA ϟ Mourir, ce n'est rien. Commence donc par vivre. C'est moins drôle et c'est plus long.

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E. Cassyopée Blackford
E. Cassyopée Blackford



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MessageSujet: ENORA ϟ Mourir, ce n'est rien. Commence donc par vivre. C'est moins drôle et c'est plus long.   ENORA ϟ Mourir, ce n'est rien. Commence donc par vivre. C'est moins drôle et c'est plus long. Icon_minitimeMar 11 Oct - 13:30


ENORA ϟ Mourir, ce n'est rien. Commence donc par vivre. C'est moins drôle et c'est plus long. Tumblr_lqrazhhTv61qfuy3ao1_500

ϟ enora et cassyopée

Sacramento, samedi dans l'après midi. j'étais assise en tailleurs sur le sol du salon de l'appartement de ma mère. Mon visage était rayonnant, un sourire accroché aux lèvres, les yeux brillant, je regardais mon petit garçon tenir seul sur ses jambes. Il riait aux éclats, et s'agrippait à la table basse pour ne pas tomber. Puis je tendais les bras vers lui, et il se mis à me regarder droit dans les yeux, et vint vers moi d'un pas bien mal assuré. Je le laissais arrivé vers moi, jusqu'à ce qu'il tombe dans mes bras. Je le serrais fort contre moi, les yeux pétillants. Il venait de faire ses tout premiers pas, devant moi. Je lui fis plein de bisous sur le visage, et il éclata de rire. C'était le bébé le plus mignon de la terre. C'était mon bébé. Il était magnifique, avec ses boucles blondes, et les yeux noisettes de son père, comment j'avais pu douté qu'il était de Phoenix. En le voyant, c'était une évidence. Et plus je le voyais grandir, plus je m'en voulais de le cacher à son père. C'était un choix égoïste, au long thermes j'allais faire souffrir tout le monde et c'est pas ce que je voulais, au contraire, j'aimais Eliott et Phoenix plus que tout, mais j'étais incapable de dire la vérité. Alors je devais me résigner à ne voir mon fils qu'une fois par semaine. C'était dure. Ne pas le voir grandir, jour après jour, j'étais mal, je me sentais mal, je voulais plus être loin de lui. Plusieurs fois je me suis dit que je devrais le prendre avec moi, à vrai dire cette question revenait chaque fois que je repartais de Sacramento. C'était une déchirure chaque semaines, c'était tellement dure. Alors que je rigolais de bon coeur avec mon bébé, la porte de l'entrée s'ouvrit. C'était ma mère qui était revenue des courses. Je me levais, prenant Eliott dans mes bras et allais la rejoindre. « Déjà revenue ? » m'étonnais - je, l'aidant à ranger quelques trucs, gardant mon bébé dans un bras. « Je peux repartir tout de suite aussi, hein. » plaisanta - t - elle. Je riais doucement, ma mère et moi avons toujours été très complice. A vrai dire c'est peut - être parce qu'on a seulement quatorze ans d'écart ? Et que sa mère à elle, l'a abandonné quand elle a appris sa grossesse. Je sais pas, j'ai seulement toujours adoré ma mère. « tu pars à quel heure ma belle ? » me demanda t - elle, alors que je rangeais un truc dans un placard. Je haussais les épaules. J'étais là depuis hier soir, et j'avais l'impression que ça ne faisait qu'à peine quelques minutes que je m'occupais de mon petit garçon. « Je sais pas, je veux rester jusqu'à ce qu'Eliott s'endorme au moins. » elle hocha la tête positivement, puis je repartis dans le salon, déposant Eliott dans son parc, et je revins vers ma mère. « Maman, tu crois que je devrais le dire à quelqu'un d'autre ? Je veux dire, il n'y a que Seven qui le sache, et j'ai l'impression de mourir étouffé sous ce secret. » avouais - je, un peu anxieuse. Ma mère m'expliqua que je devais faire ce qui me semblait juste, mais elle m'incitait tout de même fortement à dire la vérité à Phoenix. Seulement ça faisait un bout de temps qu'on c'était pas disputé avec lui, j'avais pas envie que ça recommence, et j'avais pas envie de foutre notre couple en l'air. Mais dans tout les cas, j'allais le foutre en l'air, avec la chance que j'ai. Le soir arriva vite. J'étais dans la chambre d'Eliott, il était dans mes bras, et venait de s'endormir. Je le posais doucement dans son lit, puis parti de sa chambre. Les premières semaines, je pleurais souvent avant de partir, maintenant c'est plus le cas, mais c'est toujours aussi difficile. Je pris mon sac, dis au revoir à ma mère, puis parti en direction de la gare.
Très vite, j'étais revenue à Carmel. La nuit été tombé depuis quelques heures. J'arrivais enfin devant la maison que je partageais avec Clervie et Enora, Elles ne savaient pas, pour Eliott. Personne ne savait à part mon demi frère. Un jour, elles finiront par se poser des questions, d'ailleurs je suis étonné quelles ne l'ai pas encore fait. Enfin, j'ouvris la porte de la maison, apparemment vide. Les filles n'étais pas là. Je laissais nonchalamment mon sac tomber par terre, et me dirigeais jusqu'au salon. J'ouvris la télévision sur le premier film, puis j'allais chercher de la crème glacé, pour finir par m'installer devant la télévision, dans le canapé, un sourire aux lèvres. Mon bébé, c'était le plus beau. Et chaque semaines, après l'avoir revue, je revenais toujours plus heureuse. Je rêvais du jour où je pourrais enfin être une vraie maman pour lui. L'avoir avec moi, tout le temps. Mon bébé. J'arrêtais mes rêveries quand quelqu'un entra dans la maison, visiblement bourré, ou triste, toujours est - il que la porte claqua. Je ne m'étonnais pas, tous des fous ici. Je restais dans le canapé, attendant de voir qui aller se pointer.
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Enora B. Williams
Enora B. Williams

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MessageSujet: Re: ENORA ϟ Mourir, ce n'est rien. Commence donc par vivre. C'est moins drôle et c'est plus long.   ENORA ϟ Mourir, ce n'est rien. Commence donc par vivre. C'est moins drôle et c'est plus long. Icon_minitimeMar 11 Oct - 14:32

ENORA ϟ Mourir, ce n'est rien. Commence donc par vivre. C'est moins drôle et c'est plus long. Sign09
Cassyopée & Enora


    En me réveillant ce matin là, j'avais eu la vague impression d'être passée sous une moissonneuse batteuse, j'étais épuisée et mes membres étaient engourdis, comme si j'avais passé la nuit à faire la fête. Or, pour une fois, ce n'était pas du coup le cas. Me levant péniblement en me massant mon bras droit j'essayais de me remémorer ce qui avait pu me causer un tel hématome, j'avais du faire un cauchemar je ne voyais que ça. Regardant l'heure sur ma table de chevet mon cœur s'arrêta une demi seconde, comment ça six heure moins le quart ?! Depuis quand je me réveillais avec les poules ? Poussant un soupir résigné je sorti de mon lit en essayant de faire le moins de bruit possible, si Clervie dormait encore j'allais en prendre pour mon grade si je la réveillais. Je descendis dans la cuisine pour me faire un café, six heure, je m'en remettrais pas. Sortant une cigarette de mon paquet je l'allumais en m'asseyant au comptoir de la cuisine, je me demandais ou était encore passé Cassyopée, elle disparaissais toujours le week-end et nous n'avions jamais eu de justification de sa part, bien entendu nous n'étions pas en train de la fliquer mais à un moment donné je finissais par me demander si elle n'en avais pas marre de nous. Il est vrai que ces derniers temps Clervie et moi même n'étions pas d'excellente compagnie, entre une qui était une handicapée de l'amour en pleine crise existentielle et moi qui me shootais tout les deux jours elle ne pouvait qu'avoir envie de fuir. Allumant la télévision je mis les journaux télévisé, non je n'étais vraiment pas motivée pour me taper "Good Morning America" avec le présentateur qui faisait plus penser à une poupée de cire qu'à une personne normale. Merci Hollywood. Hollywood. J'avais bien envie d'y retourner rien qu'un week-end, reprendre mes marques et passer du bon temps avec mes amies. Mais pour faire sortir Clervie de son lit et Cassyopée de sa torpeur j'allais avoir besoin de plus qu'une virée chez les stars. Des fois je me demandais comment trois névrosées pareilles pouvaient vivre ensemble. Mais nous y arrivions et c'était le principal. Réfléchissant à ce que j'allais bien pouvoir faire de ma journée en tirant machinalement sur ma cigarette, j'avais besoin d'être seule. Autant me faire une virée en ville en solitaire et finir dans un resto, tant pis si on allait me prendre pour une associable je n'en avais que faire et puis de toute façon je ne pouvais pas rester avec Clervie, j'allais finir par la secouer pour qu'elle arrange son problème de cœur et ça elle ne me le pardonnerais pas. Je devais me changer les idées, j'étais dans ma période idée noire et cela n'allait pas en s'arrangeant je devais me bouger les fesses mais je crois que j'avais perdu tout espoir qu'un jour ma vie s'arrange. Mauvais karma. Le mauvais karma ça ne pardonne pas. Lâchant ma tasse de café je partis dans ma salle de bains, au fond du gouffre certes, mais pas en pyjama.

    La journée était passée à une vitesse incroyable et j'avais dévalisé la moitié des boutiques de Carmel, merci maman pour ce compte en banque. Cela me permettais d'étancher ma tristesse même si je savais que ce n'était pas du tout le meilleur moyen. J'avais entrepris de tout caser dans ma voiture et celle-ci était blindée, plus moyen d'ouvrir le coffre sans que tout dégringole, j'étais plutôt satisfaite, pendant un instant j'avais oublié à quel point ma vie était merdique. Le matin-même j'avais réservé dans un restaurant plutôt sympa, là ou j'étais sûre de ne croiser personne. Je n'étais pas d'humeur et franchement Enora de mauvaise humeur, mieux valait ne pas la voir. C'était mieux pour la santé mentale de quiconque. Même si je préférais être seule je n'arrêtais pas de penser à mon passé, à tout ce qui m'avait fait arriver là, à mon frère. Parfois je devrais m'abstenir de réfléchir, cela ne donnais jamais rien de bon. Il devait être aux alentours de onze heure lorsque je repris le chemin de ma voiture, je n'avais pas envie de rentrer mais je n'avais pas envie d'aller me coller une taule monumentale. J'en avais assez de finir dans des état déplorable cinq fois par semaine, ça commençait tout doucement à me courir sur le haricot. Mais chassez le naturel il revient au galop. Passant ma main dans la poche arrière de mon jean je sentis le petit en plastique glisser sous mes doigts. Génial, en route pour les paradis artificiel, je n'avais que ça pour me sentir encore un minimum vivante. Ce fut dans ma voiture que je me laissais aller à mon délire, comme la plupart du temps. J'avais nettement diminué ma consommation à cause de mes études mais je ne me sentais pas encore prête à me sevrer, je n'y arrivais pas et ça me rendait vraiment dingue. Ma tête tournais, j'avais l'impression que mon corps était devenu du chamallow mais cet état là ne durait jamais longtemps, dans moins de dix minutes j'allais être tellement speed que j'allais rentrer à cent cinquante kilomètres heure, autant partir de suite, ça allait m'éviter de me crasher contre un arbre. Je finis par arriver devant la maison quinze minutes plus tard, prenant tout mes sacs de vêtements je courus littéralement vers la maison, il y avait de la lumière, chouette. Comme à mon habitude je me pris le marche du perron et manqua de m'étaler de tout mon long. Pour changer. La porte s'ouvrit comme par enchantement après plus de dix minutes d'acharnement à la recherche de mes clés, lâchant mes sacs et rentrant dans le salon je posais mes affaires avant de voir Cassyopée dans le salon. « Saaaaalut poulette ! » Lâchais-je en me postant devant elle avant d'aller me chercher à boire dans la cuisine, j'avais tellement soif que j'aurais pu vider toutes les bouteilles d'eau présente ici. « T'as disparus où cette fois-ci ? » Demandais-je en vidant d'un trait la bouteille que j'avais à la main. Elle me paraissait troublé mais là mon cerveau en mode pause m'empêcher de me poser des questions.



Dernière édition par Enora B. Williams le Mar 11 Oct - 19:12, édité 1 fois
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E. Cassyopée Blackford
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MessageSujet: Re: ENORA ϟ Mourir, ce n'est rien. Commence donc par vivre. C'est moins drôle et c'est plus long.   ENORA ϟ Mourir, ce n'est rien. Commence donc par vivre. C'est moins drôle et c'est plus long. Icon_minitimeMar 11 Oct - 19:08


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ϟ enora et cassyopée

Notre maison devrait être renommé. Oui, ça devrait être un asile. Clervie, c'était une handicapé de l'amour qui voulait pas se bouger pour arranger les choses. Enora, c'était un junkie, shooté du matin au soir et du soir au matin, en pleine crise existentielle. Et moi ? Moi j'étais une ratée. A chaque fois que je devais faire un choix, que je devais prendre une décision, j'allais dans un mur. Depuis que ce type m'a volé ma vie, je suis vide, je ne sais plus rien faire de bien. Mon seul rayon de soleil, c'est mon bébé. Mais là encore, j'enchaînais conneries sur conneries. Au début, je ne l'avais dit à personne, de peur que se sois de mon agresseur que je sois enceinte. Mais quand j'ai accouché, et après avoir fait un test, j'avais eu la confirmation qu'Eliott était l'enfant de Phoenix. Seulement, comme je pouvais lui annoncer, après lui avoir caché toute ma grossesse ? Impossible. Alors, j'ai continué à le lui cacher. Puis, je me suis retrouvé face à deux autres dilemme : tout d'abord, je n'avais pas assez d'argent pour élever Eliott, à cette époque là j'habitais encore dans mon petit studio non loin d'ici. Ensuite, comment cacher l'existence d'Eliott à Phoenix, alors qu'il avait débarqué à Carmel ? Ne voulant pas affronté toutes les difficultés que ses deux gros problèmes impliquait, j'ai laissé ma mère s'occuper de mon bébé. La plus grosse des erreurs que j'ai du faire était celle - ci. C'est difficile pour moi, mais c'est pas bon pour lui non plus, le laisser à sa grand mère, et réapparaître chaque semaine, j'avais peur que pour un nourrisson, ça soit trop difficile, ne pas avoir de repère. Puis un beau jour Enora me proposa de venir vivre chez elle, avec Clervie, c'était il y a un an. Depuis, je suis tombé dans une bien triste routine, je fais des études de stylisme, et je travaille en tant que serveuse dans un restaurent, ajouté à ça le fait de mentir, chaque seconde qui passe, et ne voir mon propre fils qu'une seule fois par semaine. Je suis une ratée, et j'accumule les conneries. J'y peux rien. Et contrairement à Enora par exemple, ma mère n'a pas de quoi m'offrir une superbe carte de crédit en béton, alors je peux même pas me réfugier dans le shopping. Mais bon, je vais pas me plaindre, sur ma situation financière, n'est - ce pas ?
Affalé dans le canapé, j'avais finis le peau de crème glacé. Si je m'écoutais, je retournerais à Sacramento, et je prendrais Eliott dans mes bras, puis je resterais avec lui, tout le temps. Mais ça ne tiens pas qu'à moi. Il y a l'autre moitié de ma vie ici, Clervie et Enora ont besoin de moi, elles sont comme une seconde famille pou moi, et je peux pas les abandonnés sans aucunes explications ! Puis il y avait Phoenix, on a vécue tellement de choses ensemble qu'il est physiquement impossible pour moi de tout lâcher maintenant. C'est impossible. Je nageais entre deux eaux, et je me sentais mal, mais il ne fallait pas que je craque, je vis ainsi depuis un ans, pourquoi ça changerais, pourquoi je craquerais maintenant ? Un bruit sourd me sauva de la noyade - oui parce que c'était clairement ce que j'étais en train de faire, me noyer dans mes pensées - et je me redressais. Au bruit, quelqu'un venait de louper la marche du perron. A ça, je savais que c'était Enora. Il n'y en a qu'une, pour être totalement pas doué comme ça, et vous pouvez parié qu'il s'agit bien de ma très chère meilleure amie. D'ailleurs, après dix minutes de suspens - et là encore, je reconnaissais Enora qui devais galérer comme un manchot avec ses clés. Puis enfin, la porte s'ouvrit et se referma aussi tôt, et je vis Enora - quelle surprise ! - débarqué comme une fleure, et déposer ses affaires. « Saaaaalut poulette ! » ah j'avais tout faux. Elle était ni triste ni bourré. Non, elle était shooté. C'est clair c'est cent fois mieux. Enfin, je vais pas lui faire la morale, je suis pas mieux qu'elle dans le font, mais pour d'autres raisons. « Salut toi. » lui fis - je, un sourire colgate accroché aux lèvres. Puis je la vie partir vers la cuisine, puis en revenir avec une bouteille d'eau. « T'as disparus où cette fois-ci ?» dit - elle, vidant d'un trait la bouteille. Zh. Mais pourquoi elle me pose cette question ? On avait dit pas de questions. C'est nul, les questions ! « Heu.. nul part.. enfin si j'étais.. j'étais à Sacramento. » répondis - je, simplement - et en bégayant, mais depuis quand je bégaie ! - enfin je soupirais en la regardant. « Et toi tu tourne à quoi aujourd'hui ? »
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