CALYPSO EXTASIE STANFORD« si la connerie est humaine, alors toi tu es un sur - homme ! »

as nom kathryn prescott
tumblr




YOUR CHARACTER

scénario inventé

YOU BEHIND THE SCREEN
Je m'appelle marie, connu sur la toile sous le nom de little m., j'ai quinze printemps. J'ai choisi kathryn prescott parce que je l'aime bien . Sinon j'ai connu le forum You are in my heart grâce à des dégénérés (a). Je serais présent sept jours par semaine parce que bon le forum rawks. Je suis tellement mignon que j'ai lu le code du règlement ok by cassie. Avant de continuer ma présentation j'ai encore quelque chose à vous dire : les cornichons vaincrons .

Loin du froid de décembre...

Recroquevillé dans un coin, elle regardait par la fenêtre. Les flocons tombaient sur le sol qui blanchissait à vue d'oeil. Dehors, tout avait l'air paisible. La nuit était tombé très vite ce soir et la lune éclairé la cour de l'orphelinat. Inerte, elle restait assise par terre à regarder le paysage. Dans sa tête, une berceuse. « london bridge is bracking down » celle que lui chantait sa soeur il y a encore quelques jours. Dans sa tête, des images, des flammes. La petite n'avait que huit ans, et elle semblait déjà connaître une vie difficile. De petites larmes pareilles à des perles coulaient le long de sa joue sans pour autant qu'elle ne réagisse. Alors qu'elle revoyait, encore et encore la scène dans sa tête, une main se posa sur son épaule et une jeune femme s'accroupit tout prêt d'elle. Salut toi. Qu'est ce qu'il t'arrive petite puce ? la petite fille posa ses yeux noisette sur la belle adolescente qui était venu lui parler. Je veux revoir mon papa. la jeune femme s'assit alors prêt de la fillette. Passant son bras sur l'épaule de la petite, elle essuya de sa main libre les joues de cette dernière et lui fit un sourire réconfortant. Tu veux que je te dise un secret ? Moi aussi je veux revoir mon papa. Et pourtant, je suis une grande, j'ai quinze ans. Mais je sais bien que lorsqu'on perd son papa, ou sa maman, ou les deux, ils nous manquent énormément, surtout le soir de Noël. Alors, on pense très fort à eux, on leur dit comme on les aimes, et on leur montre comme on est fort en ne pleurant pas. Je sais que c'est difficile, j'étais comme toi quand je suis arrivé ici, puis je me suis fait des amis et on a rigolé ensemble. Si tu veux, je peux être ton amie ? la petite ne répondit pas, mais comme toute réponse elle hocha la tête positivement et un léger sourire apparu sur son visage si triste. L'adolescent lui sourit à son tour tendrement, lui faisant un bisou sur sa joue et la serrant un peu contre elle. Je m'appelle Orphéa, et toi petite puce, tu t'appelles comment ? la regarda Orphéa qui venait de se présenter, hésitante elle fit de même Extasie. Et lui, c'est Elyx. dit elle en désignant son grand frère du regard, qui était en train de répondre aux questions d'une femme qu'aucun des deux enfants ne connaissait. Elyx, c'est mon grand frère. Avant, j'avais aussi une autre soeur qui s'occupait de moi mais elle est morte avec mon papa. J'ai gardé son collier, elle me l'a donné, pour pas que je l'oublie, elle avait dit. commença à se confier la petite. Orphéa ne l'interrompit pas, elle savait comme c'était important de parler, surtout quand on a perdu ses parents, elle pouvait très bien comprendre que la petit est besoin de se confier. Alors maintenant que le feu les a tué, je suis toute seule avec Elyx. Il a quinze ans, bientôt seize, il est grand. Moi, j'ai que huit ans. Ma grande soeur, elle avait quatorze ans, et j'avais pas de maman parce qu'elle était très malade après que je sois née, alors elle est morte. Alors, on vivait tous avec notre papa. Il était drôle mon papa, il savait faire plein de chose. Mais notre immeuble a brûlé dans le feu, et mon papa est resté dedans, avec Vanille ma soeur. C'est Elyx qui m'a pris dans ses bras, et qui m'a emmené à l'étage d'en dessous, pour que les pompiers nous trouve, après je me rappelle plus, il y avait trop de fumé, alors j'ai fermé mes yeux, et j'ai toussé, et je me suis réveillé à l'hôpital. Ensuite, on m'a emmené ici. J'aime pas ici. J'aime pas, parce qu'il y a une dame qui a dit qu'on pouvait me séparer de mon frère. Je veux pas être loin d'Elyx. C'est mon frère. la petite Extasie c'était blottie contre le jeune femme, qui lui caressait la joue doucement, l'écoutant attentivement. L'histoire de la petite la toucha, c'est vrai tous les enfants de l'orphelinat avait des histoires plus ou moins tragique, le simple fait d'être orphelin c'est tragique, mais la petite l'avait touché. Elle se redressa doucement puis finit par se lever prenant la petite dans ses bras. Tu sais, ce soir c'est Noël. Tout le monde est dans la salle commune, il y aura même des cadeaux. la petite sourit à pleine dents, la perspective de cette soirée était heureuse. Exta' je t'ai déjà dit de pas embêter tout le monde ! intervint une vois masculine visiblement légèrement exaspéré de l'attitude de la fillette. Non il n'y a aucun problème, c'est moi qui suis venu la voir, elle était toute seule.. Au fait moi c'est Orphéa, tu dois être Elyx c'est ça ? le jeune homme hocha la tête positivement, les yeux rivé sur la belle adolescente. Ils restèrent quelques instants, à se regarder ainsi, Orphéa tenant Extasie dans ses bras, et Elyx admirant le jeune fille. Elyx, Orphéa elle a dit que y'avait plein de monde dans la salle commune parce que c'est Noël, alors, on y va ? Hein ? D'accord, aller ma belle, tu viens sur mes épaules ? dit - il en tendant les bras vers sa petite soeur. Elle se laissa faire, et grimpa sur les épaules d'Elyx. Très vite, ils arrivèrent à la salle commune. Ils étaient une centaine, peut - être plus. J'ai peur. balbutia la petite. Y'a vraiment pas de quoi Exta,je suis certain que t'aurais pleins d'amis ici. rassura son grand frère. Il plaça ses mains sur les hanches de la petite fille et la souleva pour la faire passer au dessus de sa tête et la poser par terre. Il lui pris la main. Tous les trois, Orphéa, Elyx et Extasie allèrent s'installer devant une assiette pleine. Oprhéa et Elyx passèrent le repas entier à se regarder, d'ailleurs ils passèrent la soirée entière à se regarder. Extasie, quant à elle c'était fait de nouveaux amis. Après la bûche glacée, elle était partis avec les autres enfants de son âge et riait, semblant oublié ce qui l'avait amené ici. En fin de soirée, on leur distribua des cadeaux. C'était de petites choses, des bonbons, des perles, des habits. Ils avaient eu aussi des jeu vidéo pour une salle de repos qu'ils allaient avoir. Quelques enfants recevaient des colis anonyme, de gens de leur famille qui ne pouvaient pas les prendre en charge le plus souvent. Extasie eu une jolie robe blanche. Heureuse, elle alla en courant rejoindre son frère. Lui visiblement, c'était satisfait d'un tout autre cadeau. Alors que la petite fille arrivait enjoué devant son frère, elle le vit embrasser Orphéa. Elle mis ses mains sur ces yeux. beurk ! le jeune homme tourna la tête vers sa soeur en soupirant, un sourire amusé sur les lèvres. Extasie .. ! Bon aller, viens - là puce. dit - il en la prenant sur ses genoux. alors t'as eu quoi comme cadeaux toi ? commença t - il. Puis ils finirent par parler tous les trois jusqu'au couvre feu. Les rires cristalins de la petite Extasie se faisaient entendre, et on oubliait facilement que dehors, il faisait froid, et que depuis quelque jours, elle était orpheline.

wake me up, when september end

changement de narration — Assise sur mon lit, je recopiais des cours dans un classeur. Je partageais ma chambre avec trois autres filles. Notre chambre n'était pas bien grande et seulement constitué d'une armoire, et de deux lits superposés, mais elle était toujours jonché d'habits, et de cahiers en tout genre. Ca faisait déjà trois ans que j'étais ici, à l'orphelinat, et finalement je me suis fait beaucoup d'amis. Orphéa a été adopté il y a peu de temps, et souvent je vois des amis être placé en famille. Moi, on ne m'avait encore jamais placé dans une famille, parce qu'ils essaient de ne pas séparé les frères et soeurs, et personne ne veut de mon frère et de moi en même temps. Je faisais mes cours tout en écoutant de la musique, perché sur mon lit en hauteur, lorsque quelqu'un frappa. Ouais ? lançais - je, me redressant pour voir la porte, et ainsi savoir qui venait me voir. La porte s'ouvrit, et je vis mon frère dans l'encadrement de la porte. Je sautais de mon lit - et ouais les gars, tout un entraînement ! - pour atterrir sur le sol et aller me blottir dans ses bras. J'ai toujours aimé mon frère, énormément. Elyx avait été très présent dans nos début ici et je ne me vois pas du tout vivre quelque chose de similaire sans lui. Qu'est ce que tu fais là ? Et pourquoi t'es habillé comme si tu partais ? m'étonnais - je, le voyant emmitouflé dans son manteau. Parce que je m'en vais Extasie. j'ouvrai les yeux, et plissai légèrement le nez. Tu t'en vas où ? Tu reviens quand ? Pourquoi tu pars ? Qui t'as demandé de partir ? Tu vas pas quand même partir longtemps ? C'est un voyage ? T'as été reçut dans une famille ? Tu vas venir me voir très souvent ? On va se revoir hein ? je commençais à m'inquiéter, je ne comprenais pas où il voulait en venir. En Irak, je m'engage dans l'armée. Je reviens dans cinq ans. Je pars parce que j'en ai besoin. Personne, je l'ai choisi tout seul. Si je pars longtemps. Non c'est pas un voyage. Non, pas de famille. Non je ne reviendrais pas te voir. je m'éloignais de lui, une rage folle me traversant les yeux. Je me laissais tomber sur le lit d'une de mes colocataire, le fixant. Tu m'aimes plus ? Tu pars.. à l'armée ? C'est une blague ? T'as pas le droit de m'abandonner.. Pourquoi ? commençais - je à balbutier. Il s'assit prêt de moi, mais je m'éloignais, le regard noir. M'APPROCHE PAS ! hurlais - je, commençant à pleurer. J'en croyais pas mes oreilles. Il partait. Se faire tuer en plus. Il pouvait pas faire ça, c'est pas juste. Pourquoi tout le monde meurt ? Pourquoi ma famille est voué à mourir tôt ? Pourquoi il court au suicide ? Pourquoi ? Je voulais qu'il reste, je voulais lui parler pendant des heures comme je le fait si bien, je veux m'introduire en douce dans la chambres des garçons juste pour dormir avec lui quand je vais pas bien, je veux pas qu'il soit loin. Je veux pas qu'il meurs. Alors que je m'effondrais en larmes, il me pris dans ses bras. Je tentais - vainement - de m'y échapper mais il avait plus de force que moi. Je lâchais prise. Extasie, c'est pas ça le problème, ça n'a rien a voir avec toi. Mais j'ai besoin de partir, il faut que je me rende à l'évidence, il faut que je parte d'ici, je n'ai plus ma place dans un orphelinat. Et avec moi dans ce pays, tu ne te feras jamais placé en famille, je fais ça pour nous. Tu fais ça pour nous ? Tu fais ça pour nous ? T'as mangé un clown ce matin, c'est ça ? Non mais, t'as pensé, si tu revenais pas, si tu te faisais tuer ? Tu crois pas que j'ai déjà assez perdu de personne de ma famille comme ça ? Il me serra un peu plus fort contre lui, séchant mes larmes. J'avais l'impression d'être une gamine, mais je voulais pas le perdre, j'avais déjà tout perdu, il était tout ce que j'avais encore, et il voulait me retirer ça. Il me regarda dans les yeux. Ne pense pas une seule seconde que je fais ça pour t'abandonner Extasie. Il faut juste que je parte, pour aider mon pays, et pour te laisser tranquille, tu dois grandir, avec ou sans moi, et je sais que tu penses que je ne reviendrais pas, mais je te jure. Je te jure quand dans cinq ans, quand Septembre sera fini, je serais là. je ne répondis pas sur le coup. Cinq ans. Cinq ans ! Qu'est ce que je vais faire pendant cinq ans ? Et si je me fais adopter, et qu'il ne me retrouve plus ? Pourquoi il part. Pourquoi tout le monde part.. Très bien, alors je veux dormir. Je veux m'endormir pendant cinq ans, et qu'on me réveille seulement quand tu reviendras. J'y arriverais pas toute seule si non. Pas ici. il soupira, déposant un bisou sur mon front. Je restais plusieurs minutes dans ses bras, avant qu'il ne se lève. Je l'imitais, puis on sortis de ma chambre. Mes yeux étaient rougis par les larmes, et j'étais tremblante. Il pris sa valise, et je l'accompagnait jusqu'au grilles d'en bas. Il se retourna vers mi, et me pris une dernière fois dans ses bras. Je t'aime petite soeur. dit - il simplement, en me lâchant. C'est avec un pincement au coeur que je le regardais partir, les larmes roulant comme de petites perles sur mes joues. J'avais envie de courir, de le rejoindre. Mais je pouvais pas. J'étais enfermé dans cette prison, j'en avais marre et maintenant, j'étais seule.