(M) HORNER ◊ You say good morning when it's midnight.
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Chrystal D. Brennan
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Sujet: (M) HORNER ◊ You say good morning when it's midnight. Mer 12 Oct - 17:58
Derek Alaric Cromwell
« Nous sommes tous à la recherche de quelqu'un, de cette personne unique qui nous apportera ce qui manque dans notre vie... Quelqu'un qui nous offrira de la compagnie. Ou de l'aide. Ou de la sécurité. Et parfois, en cherchant bien, on peut trouver quelqu'un qui nous procure les trois. Oui, nous sommes tous à la recherche de quelqu'un. Et si on ne parvient pas à le trouver, on a plus qu'à prier que ce soit lui qui nous trouve... »
L'histoire du personnage est plutôt libre. Il faut juste savoir quelques petites choses sur lui.
◊ Il est né en Amérique, mais vient d'un millieu assez Italien, car son père en est un. ◊ Il n'est plus en contact avec son père depuis de nombreuses années, car ce dernier le détester. ◊ Sa mère l'a abandonné quand il n'avait seulement que 8 ans. ◊ Il à créer un grand restaurant Italien, qui marche vraiment bien, grâce et à l'aide de Chrystal, qui à toujours su voir et croire en lui. ◊ Malheureusement, ça lui est déjà arriver de se retrouver au poste de police, car il peut se montrer violent, quand un homme tourne trop autour de celle qui l'aime. Ainsi que par le passé, il à voler des petites bricoles.
Chrystal D. Brennan
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Spoiler:
« Bonjour ! » Baissant la tête sur le courrier qu'elle venait de récupérer, elle me répondit poliment. Moi, je restais planté devant ma boite aux lettres, comme un idiot. Je l'ouvrais machinalement, sans regarder ce que je faisais. Oh non ! Mes yeux étaient rivés sur elle et ses longues jambes. Je devais bien avouer que je m'attardais sur ces dernières. « La vue est magnifique ! » m'avait-on dit lorsque j'avais visité pour la première fois l'immeuble, dans l'espoir de décrocher les clés d'un appartement. Impossible de contredire Mrs. Savari lorsque mon regard c'était posé sur ma voisine du dessus : Chrystal. Je sentais le regard de la concierge posé sur moi, me rappelant à l'ordre et me stoppant dans ma contemplation. Je préférais me tenir à carreaux, pour ne pas la voir débouler chez moi. Ses interrogatoires à répétitions m'avaient d'abord fait rire, mais à force ils s'avéraient usant. Elle veillait sur l'immeuble comme sur la vie de son chat, Chaussette. Elle y mettait tout son cœur de commère, que cela en était parfois flippant. Chrystal était mariée, malheureusement pour moi. Ça n'empêchait pas pour autant mes yeux d'en profiter. Mais ça, Mrs. Savari ne le comprenait pas.
Six mois que je vivais ici. Six mois que je la croisais de temps à autres dans les couloirs. Pourtant, notre relation allait au-delà du simple bonjour échangé dans le hall d'entrée. On avait forcé le destin. Enfin... Je l'avais forcé ; et cela en glissant un mot dans sa boite aux lettres. Elle y avait répondu, deux jours après. De là, nous avions mis en place une sorte de correspondance alors que nous vivions dans le même immeuble. Moi, ça m'amusait. J'apprenais à la découvrir à ma manière, puisque la jeune femme se livrait assez facilement au travers de ses messages. Il ne s'agissait que de détails, de goûts, d'avis... Mais cela s'est voulu amplement suffisant pour que je tombe sous son charme. Si bien que j'en devenais plus tactile à chacune de nos rencontres. Nous avancions à reculons, elle m'entraînait jusqu'à sa porte et sa bouche émettait une douce pression sur la mienne. Je me délectais du parfum sucré de ses lèvres rosées. Notre baiser se voulait sauvage, laissant nos corps s'exprimer librement. Jusqu'à ce qu'elle se stoppe, suite à une soudaine prise de conscience de ses actes. Ou bien était-ce ma main qui se voulait trop baladeuse en se glissant sous sa jupe ? « Non, je ne peux pas... » « Mais... » « J'en ai envie, bien sûr... Mais... » Elle agita sa main sous mon nez, à laquelle scintillait son alliance. Je soupirai doucement. Son mari. J'avais dû le croiser 2 fois, tout au plus. Le reste du temps, il était en déplacement m'avait-elle expliqué. Pauvre fou. Laisser sa femme seule pendant tout ce temps, il faut être stupide ! « Je suis désolée Derek... Je ne suis pas ce genre de femmes. » « Ce genre de femmes ? » « Oui, celles qui trompent leurs maris. » « Quitte-le dans ce cas. » « Tu ne comprends pas, c'est compliqué. » « Il n'y a rien de compliqué pourtant... » « Si... » J'allais l'embrasser à nouveau, lorsqu'elle me repoussa de toutes ses maigres forces. « Je l'aime, arrête ! » Wow ! Même si je m'en étais toujours douté, et que cela se voyait comme le nez au milieu de la figure, son élan de franchise avait comme l'effet d'une gifle. Oui, elle venait de me frapper avec des mots. C'était douloureux. Relevant les mains au niveau de ma tête, je fis quelques pas en arrière. Elle me fixait, quelque peu déboussolée. Un peu plus et j'aurais pu croire qu'elle allait verser une larme. « Ok... » Je n'ai rien ajouté, disparaissant dans la cage d'escalier. Les marches, je les ai monté à toute vitesse, m'empressant de regagner mon appartement. Frustré et complètement dingue de cette femme que je ne pouvais pas avoir, je m'en suis rendu malade. Puis, j'ai décidé de tourner la page, une fois que Mrs. Savari m'ait annoncé que la belle s'était absentée pour une durée indéterminée. Elle avait dû rejoindre son homme... Pfff ! Quel idiot je faisais.
Deux mois... Deux mois que je n'avais pas croisé la belle au détour d'un couloir. Deux mois qu'elle était partie. Mrs. Savari m'avait soutenu qu'elle reviendrait, puisqu'elle continuait à payer son loyer. Mais comme je n'avais pour ma part aucune nouvelle, je ne pouvais qu'en douter, non ? Je pensais très souvent à elle, peut-être trop souvent d'ailleurs. Et malgré les apparences, malgré les sourires complices échangés avec ma petite squatteuse préférée, je n'étais pas super bien. Je m'étais sans doute trop attaché à elle, devenant presque dépendant de ses lèvres, de sa douceur, de sa présence. Encore ce matin, en descendant récupérer mon courrier, j'y pensais. Et lorsque mon regard s'est posé sur cette silhouette que je connaissais trop bien, j'ai cru avoir une hallucination. « Bonjour Derek. » Me lança-t-elle poliment, avec un sourire en coin. « Chrystal... Je... T'es de retour ? » « Non, non, j'avais oublié ma brosse à dents... Bah oui ! » Je levais les yeux au ciel, me sentant un peu idiot pour le coup. Je ne savais pas comment réagir. Me montrer courtois ? Agréable et gentil ? Alors qu'il m'était bien difficile de cacher que je lui en voulais. « Ça va, toi ? » « Super ! Et toi ? De retour de vacances en amoureux ? En famille peut-être ? » Je me montrais très peu avenant, je m'en rendais bien compte. Elle me fixait, cherchant probablement quelque chose à me répondre, lorsqu'une main me frôla, suivit d'un « Je vais en ville, je ne rentrerais pas tard ! » Ah... Aria n'avait pas choisi le bon moment pour faire une apparition. « Je le savais... » « Tu savais quoi ? » « Que tu serais comme ça. » Elle passa devant moi, me bousculant presque pour atteindre l'ascenseur en traînant sa valise. « Comment ? » « Tu le sais très bien. Et pour information, mes vacances étaient extraordinaire. Rien de mieux que de revenir avec des papiers de divorce ! » Elle s'impatientait devant la porte, me tournant le dos. J'étais muet, surpris par cette révélation. La voix de Mrs. Savari se fit entendre depuis l'autre bout du hall : « Il est en panne ! » « Super ! Quel plaisir de revenir ici ! »
Aria V. Montgomery
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Spoiler:
« Wow ! Comment as-tu fait ça ?! » Elle me fixait, de ses grands yeux clairs. L'étonnement se lisait sur son visage, me décrochant un sourire franc. Il ne s'agissait que d'un petit tour, de ceux que l'on présente fièrement à ses parents après avoir reçu un coffret de magie à son anniversaire. Mais elle me regardait avec cet air innocent, comme une fillette curieuse de comprendre ce qui venait de se passer sous ses yeux. « Un magicien ne dévoile pas ses astuces... » Et si elle avait su qu'avec moi, il n'y avait pas que les pièces de monnaie qui avaient disparut... Elle aurait probablement moins rit. Oui, quand je n'étais encore qu'un gamin, j'avais voler des choses. Parfois des bricoles, trois fois rien, mais son père avait était justement l'une de mes cibles... Je ne manipulais pas les gens. Ils le faisaient seuls en buvant mes mensonges comme du petit lait. Libre à eux de douter de moi... Ils n'en faisaient rien, ça n'était pas de ma faute. J'étais partis de cette vision des choses pour m'attribuer un rôle un peu moins moche que celui de l'escroc. « Allez ! Qu'à moi... Je ne le dirais à personne. » « Menteuse. » « Derek ! » Je levais les yeux au ciel, gardant mon sourire en coin, puis fit mine d'accepter. Récupérant la pièce sur la table, je l'amenais au niveau de son oreille et recommençais le tour en la faisant disparaître. « Le secret, c'est la diversion. » « Ah ? » « Oui... Fais en sorte que ton public se concentre sur autre chose, et fais disparaître la pièce. » « Facile à dire ! » Je m'étais instinctivement rapproché d'elle, le regard plongé dans le sien. J'avais toute son attention, pouvant alors lui dérober le plus discrètement du monde son portefeuille, sagement rangé dans la poche intérieure de son sac à main, derrière elle. « Si on y croit, tout devient plus simple... » Nos lèvres se caressaient, je soufflai ces quelques mots tout contre sa peau. Ses yeux se fermaient doucement, jusqu'à ce qu'elle se penche en avant pour venir m'embrasser. Un baiser doux, délicieusement sucré, que je stoppais bien rapidement en lui montrant ma seconde prise. « Mon portefeuille ?! » Elle ne pu s'empêcher de rire face à sa naïveté, alors que je me voulais satisfait de ma performance. J'avais à nouveau fait diversion, pour que cette magnifique voleuse me rende mes lèvres.
On venait de toquer à la porte. Qui pouvait me rendre visite à une heure pareille ? En pleine nuit, je n'attendais personne. Je m'étonnais même que la concierge ait laissé quelqu'un s'introduire dans l'immeuble. Elle et ses 400 verrous en tout genre... A moins qu'un de mes voisins ne vienne me demander de l'aide ? Ouvrant la porte, ce fut la surprise de l'année. Peut-être même du siècle ! Ça faisait un peu plus d'un an que je ne l'avais pas vu. Aria se trouvait sur le pas de ma porte d'entrée, trempée et grelottante. « Bonsoir Derek... » souffla-t-elle. Je m'empressai de la faire entrer, jetant un coup d'oeil dans le couloir, puis refermais la porte. « Aria ? Mais qu'est-ce que tu fais là ? » Elle ne répondit rien, se tournant pour me faire face, puis se mit à pleurer à chaude larmes. Wow ! J'avais l'impression d'être dans la 4ème dimension. Aria... Qui pleure... Surréaliste ! « Ça ne va pas ? » Question idiote, comme à mon habitude ! Je la regardais, elle me fit non de la tête, et sanglota. Je ne pu me retenir plus longtemps, je finis par la prendre dans mes bras. « Il m'a mis à la porte... » « Hein ? De qui ? » Ayant été coupé du monde pendant un temps, je ne savais même pas de qui elle me parlait. Son petit ami ? « Papa... Il a appris que j'étais venu te voir et... Puis pour le procès aussi... On s'est disputé. Je... Je suis fauchée Derek... » En effet, elle m'avait rendu visite à plusieurs reprises, jusqu'à ce que je lui demande d'arrêter. J'avais été enfermé en ayant cherché à voler son père. Il était bien naturel que l'homme en question m'en veuille à mort. Mais de là à mettre sa propre fille à la porte... Je m'en voulais terriblement. Elle s'était tellement attachée à moi, qu'elle m'avait même défendu. Elle avait payé cet avocat, par diverses transactions afin de passer au travers des filets de son père. Mais ça n'avait visiblement pas marché, puisqu'il avait tout découvert. « Chut... Calme-toi... » Elle s'était blottie tout contre moi, tentant de reprendre une respiration correcte. « Je suis toute seule... » « Menteuse. » Elle releva la tête, me fixant de ses yeux brillants de larmes. « Je suis là moi... Allez, sèche tes larmes. T'es suffisamment trempée comme ça ! » Hallelujah, elle venait de me sourire ! Après tout, elle n'était pas venu jusqu'ici pour se retrouver face à une porte close. La mienne ne l'aurait jamais été pour elle. Impossible ! Frictionnant ses bras pendant un instant afin de la réchauffer, je décidai d'aller chercher des serviettes. Avec ce temps, elle allait attraper la mort. « Tu vas rester ici... » « Mais... » « Pas de mais ! Tu restes ici, je squatte le canapé ! » Après avoir enfilé une de mes chemises, elle ne s'est pas fait prier pour s'endormir, sans doute exténuée. Je lui ai laissé ma chambre quelques jours, jusqu'à ce qu'elle décide d'inverser les rôles. Si je m'approche de trop près du clic-clac, elle en devient presque hargneuse ! Sans vraiment m'en rendre compte, j'avais trouvé une colocataire.
Chrystal D. Brennan
♡ Messages : 23 ♡ Crédits : Mach'.
Sujet: Re: (M) HORNER ◊ You say good morning when it's midnight. Mer 12 Oct - 22:03
Ô toi, si tu lis ces quelques mots c'est que tu as : soit zappé tout le scénario, soit dévoré l'histoire. Dans ce cas, le personnage est fait pour toi ! Comme tu as pu le remarquer, hormis les quelques points, son histoire est plutôt libre. Cependant, si tu n'arrive pas, que celle-ci ne te convient pas, tu peux toujours la modifier. ;) Le prénom et l'avatar ne sont pas négociable. Quand à la colocataire de mon cher Derek, c'est obligé de l'avoir. Néamoins, si Tabrett Bethell ne te convient pas du tout, tu peux toujours changer ! Je ne suis pas non plus née pour être une peste incarné ^^ . J'attends un bon niveau de rp, dans un bon français. Pas la peine de m'écrire un pavé si c'est illisible. Bref... Si tu as des questions ou n'importe quoi d'autre, tu peux toujours venir me harceler sur ma petite boite mp. Je te conseille aussi de lire ma fiche, histoire de savoir à qui tu vas te... Frotter ! Sur ce, si tu es toujours intéressée et que tu t'inscrit : Je t'aimerais, te chérirais autant dans la vie que dans la mort, je me proternerais, je te construirais un temple, je t'acheterais la lune, nous nous marierons, et auront beaucoup de bisounours, ah et... Je suis une psychopathe et perverse dans l'âme, alors, si je te viole... Ne prends pas peur ! (a)
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